Covid, confinement, guerre, parents impuissants, solitude...
Dans son livre Homos Sapiens, Yuval Noah Harari nous parle d'un des éléments qui a permis notre survie en tant qu'espèce pas si puissant que ça.
Notre capacité à imaginer.
L'humain à réussi à prospérer car elle a réussi à imaginer. Seul ou en collectivité.
C'est ainsi que dans un contexte où les admissions en urgence pédopsychiatirque explosent, les tentatives de suicides chez jeunes ados et même enfants explosent, il est nécessaire de rappeler à tous, mais surtout à ces enfants que :
Ce n'est pas uniquement ce que vous savez faire, vos études, ce que vous ressentez aujourd'hui, qui va vous permettre une réussite, peu importe laquelle est-elle. Mais ce que vous êtes déjà. L'ÊTRE.
L'être, la sensibilité, les idées les plus farfelus, c'est eux-même qui vont faire de vous, ce que vous voulez être.
Privé de leur imagination par les angoisses de leurs ainés qui oublient la transmission, ces enfants n'apprennent souvent pas que l'étape nécessaire à l'action et l'imagination. Des parents angoissés, une société embrasée, et ils n'ont pas encore toutes les clés en main.
La compétence n'est pas inée, l'intelligence n'est pas inée. Elle se travaille mais surtout elle se répète des années durant pour être au plus proche de l'image. Vous n'avez rien à craindre tant que vous serez des humains.
Une chanson vaut milles maux et un poème vaut milles arguments:
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